vendredi 12 décembre 2008, par Stephan LeBohec (University of Utah)
Lundi 15 décembre 2008 à 11h00 , Lieu : Salle de conférence du bât. 17
L’interférométrie d’intensité n’a pas été utilisée en astronomie pour plus de quarante ans. La technique ne requiert pas de télescopes de qualité astronomique mais ceux-ci doivent être suffisamment grands pour compenser leur faible sensibilité. Applicable aux longueurs d’onde les plus courtes et pour des lignes de bases pratiquement illimitées, une remise a jour de l’effet Hanbury Brown Twiss en astronomie, tirant avantage de progrès énormes en traitement du signal depuis quarante ans permettrait des observations autrement difficiles. Les projets de grande échelle qui se mettent en place pour l’astronomie gamma de très haute énergie tel CTA en Europe ou AGIS aux Etats Unis sont d’une conception très semblable a ce que pourrait être un interféromètre d’intensité moderne.